C’est un restaurant aussi unique que fantasque, déployant ses tables dans “un décor très sauvage, coloré et avec un jeu de lumières exceptionnel, invitant aux ambiances feutrées et festives à la fois”. C’est pour toutes ces qualités que les trois amis et associés, Raphaël Blanc, Vincent Luftman et Tobias Chaix ont jeté leur dévolu sur cette adresse fondée par l’inénarrable Nano. “Ici, les gens se lâchent ; en début de soirée, ils ne se connaissent pas puis ils se parlent d’une table à l’autre, ils dansent et finissent par oublier leur quotidien” sourit Tobias Chaix. Et le charme opère soir après soir dans ce décor de cabane où un Robinson et son Vendredi pourraient surgir à n’importe quel moment. À la Sauvageonne, les soirées débutent toujours en mode piano bar, on se prend à rêver devant cette carte, orchestrée depuis 2016 par le chef Bernard Ferrand. Les inspirations provençales d’artichauts violets rôtis, de pissaladière et le tartare de dorade, se mêlent aux notes plus orientales d’un tataki de thon ou des grosses gambas bio de Madagascar. Sean, le DJ résident, distille ensuite un mix de musiques françaises, “un peu barrées, dont tout le monde connaît les paroles et chante” s’amuse Tobias Chaix. Les pâtes cacio e pepe et le flat Iron steak de Black Angus font le reste… “Ce restaurant est une adresse familiale, c’est un ovni dans la pampa de Ramatuelle car c’est finalement ici qu’on s’amuse le plus, c’est une adresse où tous nos clients se retrouvent pour partager un moment de bonne cuisine et de fête”, insiste le maître des lieux. Dans une ambiance farfelue, les serveurs participent à la fête et parviennent à satisfaire les moindres demandes pour transformer un moment de fête en date mémorable. Et c’est peut-être ça qui a fait entrer la Sauvageonne dans l’Histoire...

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