« Il y a 50 ans, ma grand-mère Roseline Moreu, avec la complicité du designer Marc Berthier, a transformé un simple rez-de-chaussée familial en un véritable lieu de vie. Le cabinet de mon grand-père, dentiste à l’étage, laissait place en bas à un espace dédié aux tissus, à la couture, puis peu à peu à l’art de vivre tropézien. Ce concept-bazar élégant s’est imposé comme une alternative subtile à un luxe ostentatoire. Aujourd’hui, je suis fière de faire vivre cet héritage. Depuis 2020, j’ai repris les rênes pour écrire un nouveau chapitre, fidèle à notre promesse : une sélection exigeante, made in Europe, à la fois intemporelle et accessible. Des vêtements à notre linge griffé, des Casteller siglées aux objets singuliers — jeux de Bagamon, accessoires pour cigares — nous cultivons le goût juste. C’est une maison qui traverse les générations, et qui continue de tisser des liens, tout en cherchant les traditions de demain. »

Au cœur du village, les Galeries Tropéziennes rayonnent comme un repère de bon goût depuis un demi-siècle. Derrière cette façade discrète bat l’esprit d’une maison singulière, nourrie d’histoires et d’intuitions. Ni nostalgique ni suiveuse, elle célèbre un chic sans prétention, où l’authenticité se conjugue avec justesse. Pauline Moreu incarne aujourd’hui cette élégance solaire, héritée de sa grand-mère fondatrice, avec l’envie constante de réinventer. Ici, les torchons portent la griffe maison, les espadrilles Casteller s’habillent des couleurs tropéziennes, et les étagères proposent aussi bien un fuseau de lavande qu’une pièce de prêt-à-porter homme ou femme. Les beaux objets y ont le charme du durable. Unique revendeur Soleïado du Golfe depuis deux ans, la maison défend un art de vivre méditerranéen pensé pour durer. Une certaine idée du luxe : celle qui ne fait pas de bruit, mais laisse une empreinte.

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