La tanière du Tigrr se cache à l’hôtel Ermitage, imposante bâtisse avec vue sur le village, et se joue des effets de style, dans un cadre mis en scène par Astrid Maillet-Contoz. Réputé pour sa carte de spécialités panasiatiques, qui mêle élégamment musique et service, le félin est aussi connu pour sa terrasse entre citadelle et vue sur le golfe. A l’heure du sunset, lorsque la silhouette des pins se détache en ombre chinoise sur le ciel qui rougeoie, on découvre une carte qui puise dans les classiques thaï, japonais et indochinois. “Forts du succès que nous avons rencontré à Megève cet hiver, nous servons cet été un menu autour du canard laqué, préparé comme il se doit, 48 heures à l’avance, séché, soufflé, pendu puis cuit à la commande” annonce Jérôme Foucaud. Moment d’exception, le canard est proposé en deux services, découpé devant le client, sa peau rissolée : - Il s’agit d’un plat d’excellence qui nécessite une réservation, la veille, pour toute la table”, prévient le maître du Tigrr. Pour accompagner cette expérience de grande sophistication, Jérôme Foucaud a composé une carte de sakés et recommande la dégustation de la cuvée exclusive “Le Tigrr 2022”, fruité à la fraîcheur toute florale, en collaboration avec les Larmes du Levant, première Sakagura française dédiée à la production du saké. “Le Tigrr aime aussi le vin blanc et fait découvrir sa cuvée limitée, un rolle-clairette du massif de l’Estérel, aux arômes de pêche et d’agrumes”. Vins, spiritueux et plats font l’objet d’un minutieux travail “car tout est fait sur place”. La clientèle, apaisée et détendue en début de soirée, respire une humeur plus festive à la nuit tombée. “Le set des DJ’s accompagne nos hôtes qui dînent en duo ou en famille à la tombée du jour. La nuit venue, parfois, certains clients entrent en mode clubbing”. C’est ainsi, qu’été après été, chaque soirée au Tigrr cultive son style unique.

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